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Affichage des articles du octobre, 2011
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Attention au terme “Equivalent 24×36″ ! Il est maintenant courant et admis de tous de lire dans les docs techniques le terme “focale équivalente en 24×36″. En lisant cela, vous êtes en droit de penser que ce que vous verrez dans le viseur de ce nouveau APN équipé d’un 25 mm, sera ce que vous étiez habitué à voir avec votre 24×36 et un 50 mm, par exemple. Et bien, ce n’est pas tout à fait vrai. Je le crains. Voyons plutôt : Je m’explique. La distance focale est bien la distance entre le centre optique de l’objectif et le point de convergence des rayons, à savoir, la plan-focal (le film ou le capteur). Cela signifie donc que la distance focale d’un objectif de 50 mm monté sur un Nikon F5 (24*36 argentique) ou un D200 (APS-C) sera toujours de 50 mm, et n’a aucune chance de devenir un 100 mm. Seule, la taille de la surface sensible change et donc, le champ couvert. Voici un exemple : prise de vue avec une distance focale de 40 mm : Et maintenant, prise de vue a
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Mais qui a tué Lestrade ?? Non, ce n’est pas le titre d’un Paul Kenny ou d’un San Antonio. Mais si vous êtes nés aux alentours de 60-70, vous avez certainement eu dans vos petites mains potelées ce drôle d’engin. Tout de plastique moulé, quelque fois de couleur, cela ressemblait à des jumelles. Mais on ne voyait pas à travers ! Il fallait y glisser une carte cartonnée, perforées de fenêtre rectangulaires, elles-même remplies par de petites diapositives ! (diapos sur film 16 mm ). Ensuite, il fallait viser la lumière et, grâce au dépoli placé devant, vous pouviez contempler une image en …. 3D !!! Et oui, simplement parce que vous regardiez deux images presques identiques, un léger décalage créant une impression de relief. Comme aujourd’hui avec le cinéma ! Une petite fenêtre au milieu permettait de lire la légende de l’image. Pour passer à la suivante, il suffisait d’appuyer sur un bouton ou un levier. Ces appareils ont eu leurs heures de gloire de 1954 envir
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Sigma DP1, mes impressions. Le Sigma DP1 ? Oui, c’est vrai, c’est autre chose. Je parlais récemment des Sigma SD9 et SD10, achetés à vil prix et surprenants de qualité. Capucines capturées avec un “vieux” SD10… Cela m’a convaincu de tester le compact DP1. Le modèle courant est plus exactement le DP1x, à plus de 500 euros, ce que je trouve prohibitif pour un compact, même “pro”. Aussi ai-je traqué l’occaze, la meilleure période étant le début des vacances… Et j’ai trouvé un DP1s, avec pare-soleil et porte filtre pour … 170 Euros. La facture, qui datait de 17 mois, parlait de plus de 500 euros ! Alors que donne ce DP ? Et bien, les fuji S2 et S5 m’ont surpris, mais avec celui-ci, c’est encore autre chose. San Juan de Los Terreros, fin de journée, DP1s. Pas mal, non ? Et encore, l’image est réduite ! Il y a suffisamment de tests sur internet sur cet appareil. Aussi, ne vais-je pas en refaire un. Mais simplement un compte-rendu d’utilisateur. Rappelons nous seulement qu’
Petite nouveauté Oh, vraiment trés petite. J’ai juste créé un “photostream” dans FlickR. Mes fidèles lecteurs (il y en a ????), reconnaitrons quelques photos déjà postées dans ce blog. Les autres, découvrirons. C’est ICI . N’hésitez pas à poster des commentaires. Merci
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Pratiquez donc le “Retro-Shooting” !! Posted on 3 August 2011 by rangerphoto Que de semaines sans articles… Aujourd’hui, je redémarre avec un sujet consacré au “retro-shooting”. Mais qu’est-ce que ce nom barbare ?? Simplement une manière de désigner, dans le style de “retro-gaming” ( qui consiste à jouer avec des jeux vidéos “anciens”, comme les jeux sur cartouche SEGA, par exemple), l’idée d’utiliser des appareils photos “anciens”, pour faire des images. Attention, quand je parle d’appareils anciens, il n’est pas question d’Argus de 1940 ou de Canon AE-1 ! Mais simplement de Fujifilm S2Pro ou de Sigma SD9, datant tout deux de 2002 . Si je parle de ces deux là, précisement, c’est parce que j’en ai récemment acheté. En réalité, j’ai même eu la chance d’acheter deux S2pro NEUFS… Vous allez me dire: “n’importe quoi, pourquoi DEUX S2 ?”. Et je répond, parce que le vendeur les vendait en lot, avec plein d’accessoires (viseurs d’angle nikon, alim extérieure, tas
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Suite de l’article historique du 28/05/2010 (Cliquer ICI pour le lire) Il décida de concevoir un appareil basé sur le principe du Leica, mais vendu un prix raisonnable. Il chargea son équipe d’ingénieurs d’en dessiner un. Le « père » du premier modèle s’appelait Gustave FASSIN. Il faut noter que son nom n’apparaît nulle part, seul celui de Verschoor est cité sur le brevet… Ce premier appareil est né en mai 1936, et fût baptisé « ARGUS ». Il était prévu pour utiliser la nouvelle cartouche 35 mm permettant de charger le film en plein jour. Cette cartouche avait été lancée par Kodak en 1934, en même temps que le Kodak Retina. Ce Retina était vendu 52,50 US$, ce qui était une grosse somme, dans ces dures années de récession. La nouvelle cartouche pouvait être rechargée en chambre noire avec les chutes de films cinéma, disponibles pour pas cher et en grande quantité à cette époque. Le premier film Kodak Couleur fût le Kodachrome, seulement disponible dans ce
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“Passed”, ou la grande histoire d’une petite étiquette… Il y a longtemps déjà, alors que je commençais à “tâter” de la photo, un petit ovale autocollant intriguait et était à l’origine de quelques légendes. C’était l’étiquette dorée “Passède” (c’est ainsi qu’un Français disait, en 1978). Elle était collée sur les appareils photographiques Japonais. Mais que signifiait-elle donc ? On disait que cela attestait que l’appareil avait été testé, qu’il ne fallait pas acheter un appareil sans cette étiquette (alors que le “grey market” n’existait pas encore), qu’il était bien passé entre les mains de “Brandt Frères” (importateur historique de Nikon), que l’appareil n’avait pas été acheté en Andorre et que les droits de douane avaient donc bien été réglés, etc, etc. D’ailleurs, au sujet de la douane, certains de ces agents auraient perçu des droits si l’étiquette était absente et que le propriétaire n’avait pas sa facture sur lui, légende aussi ?? Quant à Andorre, c
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Voici la suite de la passionnante aventure du Kodachrome : Le grand chambardement se produisit en 1961-1962 avec l’introduction du procédé K-12, qui vit la sortie du Kodachrome II et du Kodachrome X. Publicité de 1958 Ces deux variantes remplacèrent immédiatement toutes les versions précédentes, le gain en sensibilité étant de 2 diaphragmes 1/2 ! Le  Kodachrome II affichait une sensibilité de 25 ISO en lumière du jour et de 40 ISO en version lumière artificielle type A, alors que leKodachrome X, qui n’exista qu’en version daylight, était un 64 ISO. Les formats ciné (16mm, 8mm et dès 1965 le Super-8) ne sortirent qu’en Kodachrome II, leKodachrome X étant l’apanage du 35mm et aussi du format 126 (dès 1963) et 110(dès 1972). 13 ans plus tard, en 1974, nouveau chambardement avec l’apparition du procédéK-14, qui provoqua l’abandon simultané de tous les films du procédé K-12. Les processus de développement K-12 et K-14 étant totalement incompatibles, quelques laboratoi