Diapo de 1981 brut de scanner. Canon AE-1, 24 mm fd, Kodacrome 64 Négatifs scannés : une alternative ? Les magazines n'en parlent pas, mais les négatifs ont encore leurs mots à dire dans le milieu de la photo. Correctement scannés, ils peuvent rivaliser avec les appareils numériques. Largement ! Les labos, même de certains supermarchés, offrent encore (pour combien de temps ?), l'option du développement du film et de sa numérisation. Comme suggéré dans le post précédent, c'est une excellente méthode pour continuer à utiliser des appareils argentiques en utlisant "la chaine numérique" moderne. N'oublions pas que nombre d'appareils argentiques sont d'excellents appareils, offrant des résultats incomparables. Le numérique, c'est bien, mais ce n'est pas forcément toujours mieux. Encore une fois, les magazines ne disant pas cela. Au contraire. On peut y opposer l'avenir incertain des supports argentiques. C'est vrai. Mais il est vrai auss
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Affichage des articles du mars, 2009
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CE QUE LA PHOTOGRAPHIE NUMERIQUE A CHANGÉ (PART V) La manière de "développer les photos" Cette façon de parler est évidemment inadéquate. Surtout à l'ère du numérique. C'est d'ailleurs pour moi l'occasion de refaire une mise au point au sujet de la terminologie... /Début de la petite mise au point/ A l'époque argentique, le mot "pellicule" n'était adapté qu'aux rouleaux de film enroulé avec une bande de papier. Ce que vous utilisiez dans vos Canon et autres Minolta était du 24x36 et donc du FILM. Comme le film cinéma, qui est d'ailleurs strictement identique ! Quant au développement, c'est le film qui est développé. Les photos sont, elles, tirées. Tirées car une image en est projetée sur du papier photosensible devenant vos photos 10X15. Avant c'était une lampe qui éclairait par transparence le négatif ou le positif (la diapo), maintenant, c'est un vidéo projecteur qui projette un fichier image. Sur le même papier. C'
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Hommage à Stephen Shore. Cela dit, M.Shore est encore vivant ! Comme je l'ai dit dans un de mes premiers messages, c'est un de mes photographes préférés. Ses photos vides de toute vie sont saissisantes. Pas seulement par la composition, mais par le "piqué" des images, qui font croire à leur réalité... Ce piqué n'est dû qu'à une chose, le format de film utilisé : 20x25. Attention les habitués aux capteurs numériques, il ne s'agit pas de 20x25 mm, mais 20x25 cm !!! Du grand format donc. Du noble. Le numérique est bien loin de concurrencer ces plan-films magiques ! Bref, c'est ce qui donne cette profondeur à ses images. Si vous voulez en voir quelques unes, cliquer sur ce lien : Shore-Stephen Son livre "uncommon places" est à lire absolument ! Ma contribution est bien plus modeste, et effectuée en numérique. Bon week-end !